Le « trimestre anti-inflation » sera prolongé ! Suite à l’accord conclu entre les représentants du secteur de la grande distribution et Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie. L’association des consommateurs n’est pas d’accord sur les résultats fournis par le gouvernement.
L’Etat veut aider les ménages français les plus modestes
Le dispositif a été initié le 15 mars, il a pour but de combattre l’inflation alimentaire. Ce dernier ayant atteint un seuil alarmant frôlant les 16 % sur un an en mars. Bruno Le Maire a affirmé sa prolongation sur France 2, il a déclaré : « Je suis pleinement conscient de la situation insupportable de la hausse des prix des produits alimentaires pour les Français ».
La prolongation du trimestre anti-inflation est bénéfique pour les foyers modestes. Surtout ceux qui sont les plus touchés par la hausse des prix des produits alimentaires. Cette mesure devrait permettre aux Français d’alléger leurs dépenses alimentaires. Ce qui est crucial pour remettre d’aplomb l’économie du pays.
Prolongement du trimestre anti-inflation : L’association des consommateurs conteste les résultats officiels
L’Etat veut soutenir au maximum les Français face à la hausse des prix des produits alimentaires. Ainsi que l’effet de la crise sanitaire sur le pouvoir d’achat des ménages français. En outre, les distributeurs doivent proposer les prix les plus bas possibles sur une sélection de produits. Cette initiative concerne à peu près une centaine de marchandises par supermarché. C’est ainsi que fonctionne le « trimestre anti-inflation ».
Les prix des produits inclus dans le trimestre anti-inflation ont baissé en moyenne de 13 %. Cela, au cours des sept dernières semaines, d’après les informations officielles du ministère de l’Économie. Mais l’UFC-Que choisir conteste cette analyse en affirmant que les prix ont encore augmenté dans plusieurs enseignes en France. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a donc décidé de prolonger le dispositif d’un trimestre pour réaffirmer sa motivation à arrêter l’inflation.
