Le mardi 16 mai 2023, environ 1,5 million de contribuables ont été surpris de recevoir un courrier électronique des impôts. Cependant, il s’agissait d’une erreur d’envoi de la part de la Direction générale des Finances publiques, et non d’une arnaque. La confusion a été rapidement corrigée.
Courriel des impôts : erreur d’envoi, pas une arnaque
En effet, ce mardi 16 mai, certains contribuables ont reçu un courrier électronique intrigant provenant des impôts. Ce courrier concernait le service de télédéclaration des impôts de l’année 2021. Cette situation a engendré une certaine surprise et une vague d’interrogations parmi les destinataires.
Toutefois, il s’est avéré que cette communication n’était pas intentionnelle de la part de la Direction générale des Finances publiques. Il s’agissait simplement d’une erreur technique et non d’une tentative d’arnaque ou de fraude.
D’ailleurs, le service des impôts a confirmé sur Twitter qu’il s’agissait d’une erreur : « Un courriel de la Direction générale des Finances publiques annonçant l’ouverture du service de déclaration en ligne 2021 a été envoyé par erreur aujourd’hui. »
Un mail inopiné
\ud83d\udea8 #Information | Un mail de la Direction générale des Finances publiques annonçant l’ouverture du service de déclaration en ligne 2021 a été envoyé par erreur aujourd’hui à 1,5 million d’usagers. Nous leur présentons nos excuses et les invitons à ne pas en tenir compte. pic.twitter.com/Ylxxi0Gjdv
— Direction générale des Finances publiques (@dgfip_officiel) May 16, 2023
Une erreur d’aiguillage
Selon les informations de MoneyVox, cette confusion résulte d’une erreur d’aiguillage. Heureusement, le service concerné a rapidement clarifié la situation, dissipant ainsi la confusion qui en avait résulté.
La Direction générale des Finances publiques (DGFiP) a rapidement arrêté l’envoi erroné et présente ses excuses. Ils demandent aux destinataires de ne pas tenir compte du courrier électronique et de le supprimer de leur boîte de réception.
Dans ce cas précis, les contribuables ont pu être rassurés que leur sécurité n’était pas compromise et que le courrier électronique était simplement le résultat d’une erreur.