Aurore Morisse, l’acheteuse de l’émission Affaire Conclue, n’a pas toujours eu une vie facile. Elle décide de faire une confidence à mettre les spectateurs en larme. Découvrez cette histoire émouvante !
L’acheteuse passionnée de l’émission Affaire Conclue
Les spectateurs aiment surtout Aurore Morisse pour sa capacité à convaincre les vendeurs avec facilité. Elle fait partie de l’émission Affaire Conclue depuis deux ans et tient tête à François Cases Bardina, Stéphane Vanhandenhoven, Caroline Margeridon…
Sa relation avec les autres participants est assez bonne. Elle atteste : « Je m’entends avec tout le monde. J’adore Damien (Tison, ndlr) mais je le déteste aussi parce qu’on a un passé similaire : des parents antiques, il aime les belles choses. Quand on est sur les mêmes objets, je ne peux pas le piffer ».
L’acheteuse d’Affaire Conclue, également propriétaire d’une galerie d’art à Liège, affectionne particulièrement son métier. Elle affirme : « J’adore faire des interviews, mais je ne sais pas si je prendrai mon pied à animer une émission. La télévision n’est pas ce que je préfère. J’aime parler avec des vendeurs et voir des objets, je ne suis pas timide, mais j’aime vivre ma petite vie tranquille ».
L’émouvante confidence d’Aurore Morisse
Dans un podcast belge, diffusé le 19 juillet, avec la juge Gruwez, Aurore Morisse dévoile un lourd passé. En effet, elle raconte que dans sa jeunesse, elle fut victime de violences conjugales. De plus, elle n’a pas osé porter plainte pour que son ex n’ait pas de casier judiciaire. La jeune femme supportait donc à la fois une douleur physique et émotionnelle, elle semble avoir des regrets.
L’acheteuse d’Affaire Conclue raconte avec émotion : « […] Je me suis tue et j’ai été voir un médecin pour faire un constat. J’ai fait constater que j’avais le nez cassé et des côtes cassées ». Elle ajoute : « Si je portais plainte, je pense que ce garçon allait faire une belle page dans la presse. Et il aurait eu une carrière foutue. La meilleure chose que j’ai pu faire, c’est de faire un constat et d’en parler autour de moi ».
Elle s’est aussi abstenue de partager l’histoire sur les réseaux sociaux, mais a décidé de quitter son enfer malgré sa peur. Elle confie : « Je n’ai pas envie qu’on me victimise, mais j’en parle autour de moi. […] Si je pars, qu’est-ce qu’il risque d’arriver ? Et la première chose que j’ai faite, c’est prendre mes clics et mes clacs et je suis partie. J’ai toujours dit : ‘la liberté coûte cher. Mais qu’est-ce que j’aime ma liberté !’ »